
Je sens que cette question vous taraude ! Vous qui rêvez peut-être de rencontrer le Coréen ou la Coréenne pour partager votre vie, vous vous êtes d’abord renseigné(e) sur les Coréens et l’amour, leur romantisme, leur comportement en amoureux. Parfait, mais maintenant, comment sont les Coréens au lit ?
Selon un rapport de Tenga (2021), le sexe était leur 8e moyen pour réduire le stress dû au covid-19, loin derrière les contenus audiovisuels, la cuisine et le sport. Même le roman est juste devant ! Pourtant, ils sont carrément 89 % à penser que le sexe est important.

Dans cet article complet sur la question, vous découvrirez les données essentielles sur les comportements des Coréens vis-à-vis des relations sexuelles. Vous apprendrez qu’il y a un véritable paradoxe, qu’ils n’ont pas beaucoup de relations intimes, qu’ils sont parfois nuls (😰), mais qu’ils font des efforts et que les choses peuvent encore évoluer.
💡 Je tiens à vous préciser que les études sur la sexualité (que j’utilise ici) présentent des défis considérables, non seulement en raison de leur complexité, mais aussi en raison de la forte subjectivité impliquée. De plus, la diversité des expériences individuelles et les tabous culturels peuvent influencer les réponses, ce qui rend encore plus difficile l’obtention de données fiables et représentatives.
Les Coréens et le sexe : un vrai paradoxe
Les différentes enquêtes menées sur les habitudes de vie sexuelle des Coréens démontrent que les Coréens sont paradoxaux. Le sexe est important, mais ils n’y pensent pas et le pratiquent peu.
Les Coréens pensent que le sexe est important
Quand on pose ouvertement la question aux Coréens, le sexe semble vraiment important. D’ailleurs, comme le souligne Lee Young-jin (2012), on dit souvent en Corée que plein de choses, comme les bois de cerf, la viande de tortue, le fiel d’ours, etc. sont très bons pour l’endurance au lit.
Selon un rapport de Pfizer*, il en résulte que 89 % des Sud-Coréens ont répondu que le sexe était important (96 % pour les hommes et 82 % pour les femmes). Le professeur Kim Se-cheol (2009) indique aussi que 76 % des personnes de plus 60 ans ont répondu que le sexe était important, soulignant ainsi la réelle importance accordée du sujet. Ces chiffres sont largement au-dessus des autres pays et de la moyenne mondiale (73 %). Et à titre de comparaison, environ 20 % des Japonais pensent que le sexe est important, moins de 50 % en France et à peine plus de 30 % aux États-Unis. Alors, les Coréens sont-ils des pros du sport en chambre ?
💡 En 2004, après deux ans de sondage et deux ans d’analyse, la société pharmaceutique Pfizer a révélé les attitudes et comportements à l’égard du sexe des hommes et femmes âgés de 40 à 80 ans dans le monde. En Corée du Sud, 1 200 personnes ont répondu à l’enquête (rapporté par Lee Seong-ju et Kim Se-cheol, 2009).
Les Coréens ne font pas beaucoup l’amour
La même enquête révèle que seulement 27,7 % des Coréens ont plus de 5 rapports sexuels par mois. Ce qui est bien en dessous de la moyenne mondiale (40,5 %). Plus récemment, en 2011, l’enquête de la société pharmaceutique Lilly Korea* (Yeo Hye-sook, 2011) dévoilait qu’en moyenne les Coréens ont 1,04 rapport sexuel par semaine. Ce qui est le chiffre le plus bas des 13 pays consultés pour cette étude, la moyenne étant de 1,5 fois par semaine.
💡 Enquête menée en 2011 sur les habitudes de vie sexuelle des hommes et femmes de plus de 34 ans dans 13 pays, dont la Corée du Sud (rapportée par Yeo Hye-sook, 2011).
Dans le détail, 75 % des Coréens ont répondu avoir moins d’une relation sexuelle par semaine. La tranche d’âge 34–45 ans, la plus active, en avait 1,2 par semaine. Et ce n’est pas étonnant car, contrairement à l’intention consciente (donner de l’importance au rapport sexuel), moins de 5 % des Coréens pensent au sexe tous les jours. Cette intention inconsciente démontre une libido très faible.
Nous pouvons aussi citer l’étude « Analysis of Sexual Behaviors among Adults in Korea » publiée par le NIH en 2020 qui indique que la fréquence moyenne globale des rapports sexuels par mois pour l’année précédente (2019) était de 3 fois, contre 5 fois en 2011.
Pourquoi les Coréens ont-ils peu de relations sexuelles ?
On peut rassembler les différentes raisons qui expliquent pourquoi les Coréens font peu l’amour en trois catégories : les évitements avoués, le dysfonctionnement sexuel et la culture sociale de la Corée.
Les raisons de l’évitement sexuel
Le rapport de Lilly Korea indique que 48 % des Coréens ont répondu avoir l’impression que son partenaire essayait d’éviter les relations intimes. Un chiffre bien plus élevé que la moyenne mondiale (33 %). Les principales raisons de l’évitement sexuel sont les suivantes :
- 91 % ont répondu que l’évitement est dû à la fatigue. Un chiffre incroyable qui s’explique par le manque de sommeil dû à des horaires de travail très larges et des nombreuses soirées alcoolisées avec l’équipe et le chef.
- 44 % ont dit « avoir d’autres excuses pour éviter les relations sexuelles ».
- 32 % des Coréens pensent que l’évitement est dû à un problème lié à l’état psychologique ou émotionnel.
- 22 % pensent qu’il est dû à une anomalie physique.

Le dysfonctionnement sexuel
Au-delà de ces raisons avancées, on peut aussi souligner la forte part de responsabilité du dysfonctionnement sexuel.
Le rapport de Pfizer indique que 42 % des hommes et 47 % des femmes ont répondu avoir eu un dysfonctionnement sexuel pendant plus de 2 mois dans l’année écoulée. Et cette défaillance peut être le symptôme de différentes pathologies, telles que le diabète ou l’hypertension artérielle. Respectivement 30 et 35 % des Coréens ont répondu en souffrir. Des chiffres largement supérieurs à la moyenne mondiale (11 et 25 %).
Aussi, le manque de sommeil, le stress et l’alcool excessif impactent naturellement les fonctions sexuelles et la libido.
Le professeur Kim Se-cheol déplore par conséquent le très faible taux de prise en charge du dysfonctionnement sexuel, 2 % alors que la moyenne mondiale est de 18,8 % en 2004. Le rapport de Lilly Korea (2011) indique quant à lui que 8 % des Coréens ont consulté un spécialiste au sujet de leur dysfonction érectile. C’est mieux, mais reste encore trop faible au regard de la moyenne mondiale de 23 %.
💡 En revanche, selon le professeur Kim, le marché noir des traitements contre la dysfonction érectile est florissant et les « aliments énergétiques » rencontrent un grand succès.
La culture sociale de la Corée du Sud
La culture sociale du pays offre différentes raisons aux faibles taux de relations intimes.
L’héritage confucéen
La première que l’on peut citer est la conscience sexuelle stricte et conservatrice des Coréens. Les valeurs confucianistes du pays font que :
- Dans le quotidien, les Coréens hésitent à manifester leur intérêt pour les rapports sexuels, même s’ils déclarent leur donner une grande importance.
- Les rapports intimes sont très rares en dehors du mariage. L’une des raisons principales est que traditionnellement les enfants restent vivre chez leurs parents jusqu’à leur mariage.
On peut préciser que, selon le rapport de Pfizer, seuls 34,1 % des hommes et 18,9 % des femmes ont répondu être favorables à des relations sexuelles en dehors du mariage. La moyenne mondiale est de 61 % pour les hommes et 51 % pour les femmes.
Par conséquent, seuls 6,3 % des Coréens et 1,2 % des Coréennes ont répondu avoir eu 2 partenaires sexuels ou plus dans leur vie. Pour comparer, la France c’est (8 et 2 %), l’Allemagne (7 et 2 %), les États-Unis (5 et 1 %). On peut considérer un certain puritanisme de la part des Coréens, à l’instar des Américains.

La baisse du nombre de mariages
Les rapports sexuels sont traditionnellement réservés aux mariés. Or, l’évolution de la société coréenne a entraîné une forte baisse du nombre de mariages en Corée du Sud. Et, l’âge du mariage est en constante hausse depuis de plusieurs années. En 1920, les hommes se mariaient à 21 ans et les femmes à 18 ans (moyenne). En 2022, l’âge moyen était de 32,8 ans pour les hommes et 30,6 ans pour les femmes. Ce qui explique que la tranche d’âge la plus active sexuellement est celle de 34–45 ans.
Et même durant le mariage, les Coréens ont plutôt l’impression d’avoir rempli leur devoir en maintenant un niveau minimum de rapports sexuels, selon le professeur Kim Se-cheol.
Taux de chômage et efforts
Bien qu’il soit généralement meilleur qu’en Europe, le taux de chômage en Corée monte peu à peu. Pour pallier les difficultés grandissantes de trouver un emploi (surtout un bon emploi), les jeunes coréens s’investissent davantage dans les études pour préparer des diplômes ou réussir des concours. Et quand ils ont trouvé un emploi, ils s’investissent encore pour obtenir un poste fixe, puis pour grimper les échelons.
Rappelez-vous plus haut, 91 % des Coréens déclaraient être trop fatigués pour avoir des relations sexuelles avec leur partenaire. Il en résulte que le taux d’asexualité chez les adultes coréens atteint 40 % (Mizlove, 2020).
Les préférences des Coréens au lit
Mesdames et messieurs, passons maintenant à des choses peut-être plus intéressantes pour vous. On a compris, les Coréens ne passent pas beaucoup de temps à se faire des câlins. Mais quand ils en font, que préfèrent-ils ?
Les moments préférés pour faire l’amour
Prenez rendez-vous au bon moment ! Selon le rapport de Lilly Korea, 60 % des Coréens ont des relations sexuelles principalement le week-end. Cela peut essentiellement s’expliquer par le fait des nombreuses heures de travail (avec des heures supplémentaires) et les dîners d’entreprise en semaine. On peut préciser le calendrier de leur vie sexuelle ainsi :
- 62 % des répondants préfèrent le samedi pour les câlins ;
- 43 % le vendredi ;
- 28 % le dimanche.
Soyons encore plus précis ! La tranche horaire préférée par 56 % des Coréennes et Coréens est entre 22 heures et 2 heures du matin.
Concernant les saisons, même si 75 % des Coréens ont indiqué ne pas avoir de préférence, on peut noter que 19 % préfèrent l’automne et 14 % l’hiver.
Le choix des musiques romantiques
Lim So-hyun résume le rapport Tenga* de 2019 qui indique que le genre musical préféré des Coréens lors des rapports sexuels est le jazz. On peut aussi savoir que l’aliment qui stimule le plus le désir sexuel des Coréens est l’alcool (ah ben tiens !).
💡 Tenga est une marque japonaise spécialisée dans les sex toys. Chaque année depuis 2017, l’entreprise mène une enquête mondiale sur la masturbation et les rapports sexuels. En 2019, 1 001 Coréens âgés de 18 à 54 ans ont répondu.
Les Coréens viennent de Mars, les Coréennes de Vénus
Sur le blog de 행성B, une maison d’édition coréenne, j’ai pu consulter une discussion plutôt intéressante se portant sur la sexualité des Coréens : 정말, 남자들은 원래 그래요 ? (Vraiment, les hommes sont comme ça ?).

On y apprend que :
- les hommes coréens sont souvent présentés comme réagissant fortement et s’excitant sexuellement facilement devant les images, notamment les films pornographiques ;
- et que les femmes coréennes seraient davantage excitées par du contenu textuel pornographique, comme les bandes dessinées.
Ces présentations sont évidemment un peu stéréotypées et il ne faut pas trop facilement généraliser, mais c’est ce qui semble globalement se dégager.
La réalisatrice Hong Jae-hee précise que la culture porno en Corée est très influencée par la pornographie japonaise, bien que celle-ci soit interdite en Corée du Sud. Heo Yoon, professeure de l’université de Yonsei, précise quant à elle que « les femmes aussi ressentent du désir en regardant du porno, même si elles apprennent souvent la sexualité par la littérature ou les fanfictions ». Hong ajoute que « la plupart des femmes trouvent le porno [film] dérangeant, car elles ne peuvent pas s’identifier aux personnages féminins ».
Cette différence de consommation d’arts érotiques peut expliquer, du moins en partie, la différence dans les réactions face à la sexualité selon les genres. D’une manière ou d’une autre, hommes et femmes développent des attentes différentes (irréalistes ?) sur la sexualité.
Comment sont les Coréens au lit ?
Que les choses soient claires, ce ne seront ici que des suppositions basées sur des statistiques. Et je n’impliquerais pas mon expérience personnelle sur la question 😅.
Les Coréens ne se disent pas spécialistes
En Corée, un tabou prédomine autour de la sexualité. Ainsi, il est difficile d’en discuter publiquement (même si les mœurs évoluent peu à peu). De ce fait, les Coréennes et Coréens s’informent sur la vie sexuelle avant tout sur Internet plutôt que par le biais d’amis. Ceci peut expliquer le fait que seuls 6 % des Coréens s’estiment être spécialistes du sexe (rapport Lilly Korea, 2011).
L’enquête indique que les Coréens obtiennent « des informations sur les questions liées à la fonction sexuelle » à 43 % par Internet, 23 % par des livres et 20 % par des magazines.
Ils manquent de communication
Alors que les Coréens sont plutôt réputés pour leur romantisme et leur attention portée à leurs petites copines, dès qu’il s’agit de relations intimes, il n’y a plus grand monde. Le manque de communication entre partenaires sexuels entraîne un manque de confiance. Cette vie sexuelle à sens unique est d’ailleurs un facteur important qui « empêche des rapports sexuels agréables et satisfaisants » selon le spécialiste Lee Young-jin (2012).
Font-ils peu d’effort pour satisfaire leur partenaire ?
Le rapport Lilly nous apprend que seulement 26 % des hommes font des efforts pour satisfaire sexuellement leur partenaire (la moyenne mondiale est de 44 %). Pour en rajouter une couche, seulement 30 % des Coréens ont coché la réponse « la satisfaction du partenaire est essentielle dans les relations sexuelles ». L’indice le plus bas des 13 pays. Un vrai paradoxe quand on sait que 89 % des Coréens pensent que la relation sexuelle est importante.
L’« Enquête mondiale sur la masturbation 2019 » de Tenga nous apporte d’autres chiffres qui semblent s’opposer à ceux précédents. 65,8 % des hommes et des femmes adultes ont déclaré qu’ils se forçaient à faire attention pendant leurs rapports sexuels. Ils se mettent même la pression, 60 % des femmes et 71 % des hommes, au point de s’accabler (Lim So-hyun, 2019).
Est-ce que finalement cela signifierait que les Coréens font attention à leurs performances, de manière un peu narcissique, sans chercher pour autant à satisfaire leurs partenaires ?

Mais ils veulent montrer de l’affection
Cependant, les chiffres suivants du rapport Pfizer publié en 2014 nous rassurent sur un point important :
- 89 % des Coréens souhaitent montrer de l’affection à leur conjoint et avoir une intimité physique et mentale.
- 87 % veulent donner une satisfaction sexuelle à leur conjoint.
La démonstration d’affection et la satisfaction du partenaire passent donc devant une satisfaction personnelle (77 % des répondants).
Mais comment sont les Coréens au lit alors ?
Les résultats conflictuels de ces différentes études nous donnent du fil à retordre pour comprendre comment se comportent les Coréens au lit. Il faut comprendre par là que les réponses varient en fonction de nombreux facteurs, notamment la présentation des questions et des réponses.
On peut tenter de tracer le portrait d’une Coréenne ou d’un Coréen :
- La volonté. 89 % des Coréennes et Coréens annoncent que le sexe est important et souhaitent montrer de l’affection à leur conjoint. 87 % souhaitent satisfaire sexuellement leur partenaire.
- La réalité. 74 % des hommes disent ne pas faire d’effort pour satisfaire leur partenaire. Seulement 30 % des Coréens pensent que le plaisir est essentiel dans les rapports sexuels. Moins de 5 % d’entre eux pensent au sexe tous les jours.
Les Coréens feront-ils plus l’amour à l’avenir ?
On commence à connaître la Corée moderne : les choses changent et évoluent plus vite qu’on le croit. D’ailleurs, les statistiques sur la démographie de la Corée prouvent la tendance des jeunes coréens à partir vivre seul dans un logement dès qu’ils ont trouvé un emploi stable. C’est une démonstration de la transition sociétale que connaît la Corée ces dernières années qui tend vers une certaine libération des mœurs.
Éducation sexuelle en ligne de mire
Autre manifestation de cette transition, en 2009 le gouvernement sud-coréen a mis l’accent sur la santé des adolescents en modifiant la loi sur l’enseignement secondaire. Les enseignants de santé ont alors été chargés de dispenser une éducation sanitaire, y compris une éducation sexuelle concernant les IST* (Ahn Sun-tae et coll., 2020). Cette politique devrait faire évoluer les tendances, mais cela prendra du temps. Seulement 44 % des adolescents interrogés ont reçu une telle éducation et à peine 10,4 % des 18–69 ans en ont reçu une.
💡 IST : Infection sexuellement transmissible. MST : Maladie sexuellement transmissible.
Les traces de la covid-19
En libérant la parole et les pensées, peut-on croire en une hausse des taux de rapports sexuels en Corée du Sud ? L’évolution des mœurs pourrait nous pousser à le croire, mais depuis la crise sanitaire de covid-19, 24,9 % des Coréens* ont diminué leur nombre d’activités sexuelles. L’augmentation du stress en est la principale cause (Do Ki-hyeon, 2021).
💡 Tenga, « Enquête 2021 sur la vie sexuelle des hommes et des femmes adultes de Corée ».
Pour 43,4 % des personnes, le stress est la cause de cette baisse de libido. 34,5 % à cause du manque de temps et 30,1 % pour le manque d’espace personnel.
Pour conclure, les Coréens concèdent largement une grande place à la sexualité. Hommes et femmes souhaitent avant tout assouvir les désirs de leur partenaire. Ils semblent davantage porter des attentions tout en veillant à « assurer leur performance sexuelle », mais ils se mettent une bien trop grosse pression. Et surtout, pour le moment encore, le sexe reste avant tout un moment intime réservé au cadre du mariage.
Autres articles sur les Coréens et l’amour
- (Correspondance) Quelle application pour parler avec des Coréens ?
- Comment sont les Coréens au lit ?
- Le mariage en Corée du Sud : histoire et modernité
- Ce qu’il faut savoir pour draguer en Corée du Sud
- L’essentiel à connaître sur le mariage gay en Corée du Sud
Sources :
- Lee Seong-ju et Kim Se-cheol. (29/09/2009). [창간특집/한국인의 性]40세이상 28% “월5회이상 성관계”. Donga Ilbo.
- Yeo Hye-sook. (12/12/2011). 한국, 성관계 횟수 세계 최하위 (La Corée a le plus faible nombre de rapports sexuels au monde). 현대건강신문.
- Lee Young-jin. (14/11/2012). 한국인의 성관계 세계 최하위, 도대체 왜 ? (Pourquoi les Coréens ont-ils les relations sexuelles les plus basses au monde ?). HiDoc.
- 행성B (PlanèteB). (27/11/2017). 정말, 남자들은 원래 그래요 ? – <남자도 모르는 남성에 대하여> (Vraiment, les hommes sont-ils vraiment comme ça ? – <À propos des hommes que même les hommes ne connaissent pas>). Blog Naver.
- Lim So-hyun. (13/06/2019). 텐가 « 한국인 65%, 성관계 시 잘해야 한다는 부담 느껴 » (Tenga : 65 % des Coréens se sentent obligés de bien se comporter lors des rapports sexuels). New Daily.
- Ahn Sun-tae et coll. (20/02/2020). Analysis of Sexual Behaviors among Adults in Korea : Results from the “Korean National Survey on Sexual Consciousness”. Korean Society for Sexual Medecine and Andrology. National Institutes of Health (NIH).
- Mizlove. (21/06/2020). 10년전 성만족도 최하워권 대한민구, 요즘은 ? (La Corée du Sud était au dernier rang en matière de satisfaction sexuelle il y a 10, et maintenant ?). Clinique d’urologie féminine Mizlove.
- Do Ki-hyeon. (09/12/2021). 텐가(TENGA), “코로나19, 한국인 성생활까지 바꿨다” (Tenga : le covid-19 a même changé la vie sexuelle des Coréens). OurToday.
Laisser un commentaire